Activités culturelles

Histoire des Chants contestaires en Espagne

Histoire des Chants contestaires en Espagne Chicho Sánchez Ferlioso

À l’occasion des Journées Manuel Azaña de Montauban, le secrétariat d’Etat à la Mémoire Démocratique offre un concert sur l’histoire de la chanson contestataire en Espagne. 

Si le vent efface ce que je chante 
Depuis la nuit des temps, les opprimés ont chanté pour se donner du courage dans les moments d’anxiété ou par provocation pour se rebeler contre le pouvoir. Dans le film Quo Vadis, quand les chrétiens sont sur le point d’être dévorés par les lions dans l’arène, ils chantent pour surmonter la peur (qui chante ses maux effraie _ disait Cervantes) et démons emmènent Néron. 
–¡Ces chiens sont insolents même face à la mort ! 
En Espagne il y a une très grande tradition de la chanson contestataire qui remonte à l’Hymne de Riego et la Trágala du XIXème siècle, mais ce fut pendant la dictature franquiste et les premières années de la Transition que ce genre a connu son essor et nous a laissé des bijoux musicaux, que nos ha legado joyas musicales Impérissables comme Gallo Rojo, Gallo Negro, Al Alba ou Mi querida España. 
Si le vent efface ce que je chante est un spectacle qui rend hommage à certaines de ces chansons, parmi les plus mémorables du genre, commentées et expliquées par Máximo Pradera, neveu de Chicho Sánchez Ferlosio et auteur apprécié des années 60 et 70. Laura Sabatel à l’interprétation (soprano) et Antonio López Serrano au piano.

Organismes organisateurs

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